Contre la légitimation du régime congolais par le gouvernement français manifestation le 8 avril de 9h à 13h, métro Saint-Philippe du Roule.
La colonisation de l’Algérie par la France débuta en juin 1830 lorsque la soldatesque française débarqua à Sidi-Ferruch dans la région d’Alger. Après la capitulation du Dey d’Alger le 5 juillet 1830, face à la résistance du peuple algérien, la « pacification » du pays fut obtenue au prix de la systématisation des « razzias » par le général Lamoricière et de la mise en place d’une politique de la « terre brûlée » par le maréchal Bugeaud. La première phase de la conquête, appelée « pacification », se termina en 1857 après le « nettoyage de la Kabylie ». Durant la période allant de 1830 à 1871, la France se lança dans une politique génocidaire émaillée de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité plus horribles les uns que les autres.
E’ tuttora Misurata il centro delle reciproche offensive dei lealisti, che l’attaccano a colpi di missili Grad, e delle forze ribelli che confidano nei raid della Nato grazie ai quali in queste ore la città risulta liberata. Ogni fonte ufficiale del conflitto libico sostiene quel che più le aggrada, c’è chi vede Gheddafi accerchiato e chi gli anti raìs in ritirata. Certa continua a essere solo la morte sotto le bombe di parecchi civili. La linea terrestre del fronte est-ovest appare tuttora indefinita perché fra le forze di terra la superiorità dell’esercito della Jamahiriya è palese, ma il martellamento aereo occidentale offre agli oppositori speranza e fiducia nel futuro. In più li eccita con divagazioni quali la distruzione degli uffici di Gheddafi a Tripoli. Uno sfregio che ha fatto incamerare al colonnello il monito lanciato alle forze Nato da Putin e lo fa sperare in una presa di posizione a suo favore da parte dell’Organizzazione degli Stati Africani. Di contro gran parte delle tribù libiche sembrano abbandonarlo e sostenere, direttamente o meno, il gruppo di Bengasi nel desiderio di transizione che porti a un rapido cessate il fuoco.
Au Burkina, vendre la terre massivement est difficile, car les gens ne se laissent pas faire. Les investisseurs des multinationales, qui osent même s’attribuer le titre de « défenseurs » de la production locale, n’attendent qu’une seule chose, produire des agrocarburants. Alors, les ONGs poussent au Jatropha pour faire du « durable », ou du « social », sous-couvert d’autosuffisance énergétique.