
Le 15 avril prochain marquera le premier (et bien triste) anniversaire de l’assassinat de Vittorio Arrigoni dans la bande de Gaza. Vittorio Arrigoni est (je m’excuse mais j’ai beaucoup de mal à écrire « était ») ce jeune journaliste et militant pacifiste italien, membre de l’ONG ISM (International Solidarity Movement), connu pour son blog Radio Guerrilla, unique source d’information occidentale au moment de l’opération* « Plomb durci » menée par l’armée israélienne à Gaza entre fin décembre 2008 et fin janvier 2009, alors que tous les résidents étrangers avaient été évacués par leurs consulats respectifs. en savoir plus...

Fusillade ou pas, le gunshow “Crossroads of the West” continue. C’est la grande foire aux armes à Tucson. Aucune raison de reporter. A l’ouverture, samedi, les organisateurs ont observé une minute de silence à la mémoire des victimes de la tragédie. Et on peut verser son obole à la sortie “pour les familles des victimes”. en savoir plus...
Dimanche 17 octobre 2010 à 17 heures sur le pont Saint-Michel, là où de nombreuses victimes furent jetées à la Seine il y a 49 ans, les associations, les partis et les mouvements en savoir plus...

La Constitution algérienne consacre la sécurité des citoyennes et des citoyens. L’Algérie a ratifié la Convention sur l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes, la Convention contre la torture et autres peines et traitements cruels ou dégradants, la Déclaration sur l’élimination des violences faites aux femmes.
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Nous venons d’éprouver la plus lourde perte. Un double deuil nous atteint. Deux chefs ont été brutalement enlevés, deux chefs dont les noms resteront à jamais inscrits au livre d’or de la révolution prolétarienne : Karl Liebknecht et Rosa Luxemburg.
Le nom de Karl Liebknecht a été universellement connu dès les premiers jours de la grande guerre européenne. Dans les premières semaines de cette guerre, au moment où le militarisme allemand fêtait ses premières victoires, ses premières orgies sanglantes, où les armées allemandes développaient leur offensive en Belgique, détruisaient les forteresses belges, où les canons de 420 millimètres promettaient, semble-t-il, de mettre tout l’univers aux pieds de Guillaume II, au moment où la social-démocratie officielle, Scheidemann et Ebert en tête, s’agenouillait devant le militarisme et l’impérialisme allemands auxquels tout semblait se soumettre – le monde extérieur, avec la France envahie au nord, et le monde intérieur, avec la caste militaire et la bourgeoisie, mais aussi avec les représentants officiels de la classe ouvrière –, dans ces sombres et tragiques journées, une seule voix s’éleva en Allemagne pour protester et pour maudire : celle de Karl Liebknecht.
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